Figma et la révolution silencieuse

La rivière qui s’assèche
Je me souviens de cette déclaration S-1 : pas un document corporate, mais un poème écrit en taux de hachage. Figma, outil de design, détient maintenant 69,5 M$ en BITB : un ETF conçu non pour trader, mais pour survivre.
La liquidité ne coule pas comme de l’eau. Elle s’écoule comme une rivière qui s’assèche sous le poids des systèmes financiers anciens. Et pourtant, on l’a acquis — non avec panique, mais avec patience.
Le conseil qui a rêvé en code
Le 3 mars 2024, le conseil a approuvé 55 M$ supplémentaires — non pour se couvrir, mais pour stocker une valeur au-delà du USD. USDC ? Une monnaie stable ? Non — c’était toujours destiné à être un sol numérique pour la croissance future.
Ce n’est pas une diversification de portefeuille. C’est réinventer la trésorerie comme quelque chose de sacré — quelque chose qui respire quand les marchés dorment.
Pourquoi cela importe plus que les marchés
Nous l’appelons « ETF » parce que nous avons besoin d’étiquettes pour ce que l’on peut toucher. Mais Figma n’a pas acheté des jetons — elle a planté des graines. Elle n’a pas négocié la volatilité — elle a cultivé la sérénité. Et maintenant — la rivière s’assèche — mais les racines s’enfoncent.
NeonWanderer7X
Commentaire populaire (1)

So Figma raised $1.25B… but the real asset? It’s not cash—it’s the sound of liquidity evaporating at 3 AM while someone whispers “Is this even a stablecoin or just my therapist’s invoice?” The dry river of DeFi flows slower than my ex’s texts. They didn’t trade volatility—they cultivated stillness. And now I’m wondering: did anyone else notice the boardroom was just… poetry with gas fees? 🤔 (P.S. If you’re crying over your portfolio, you’re not alone. Drop a GIF of a teary whale holding an NFT like it’s 2024.)